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  • Aude Villala

Pleurer fait partie d’un processus de guérison

Aujourd’hui je voudrais parler d’un sujet un peu tabou en société : l’émotion de tristesse. Les personnes ont souvent le réflexe de cacher leur peine. Pour moi cacher un besoin surtout s’il est primordial à sa santé psychologique c’est refuser de s’écouter et à un autre moment ce besoin ressortira.


En effet, j’observe parfois chez mes clients une retenue sur ce sujet et pour d’autres c’est tout le contraire, ils aimeraient que ces débordements s’arrêtent.


Alors aujourd’hui j’ai envie de vous dire que vous avez le droit de vous autoriser à ne pas être bien et même de le montrer. Et prenez le temps dont vous avez besoin pour traverser cette émotion de tristesse.


Pleurer libère et peut même aller jusqu’à libérer d’ancienne blessure profonde. Cela fait partie d’un processus de guérison


Un médecin s’est intéressé au pouvoir thérapeutique des larmes : le docteur Janov.

Comme le dit Janov, les pleurs sont : « une nécessité biologique, une tentative de guérison, un effort visant à stabiliser l’organisme »


Les larmes ont de plus des propriétés calmantes, elles libèrent de l’ocytocine et des endorphines, ainsi elles participent à tranquilliser la personne.


Alors si pour une raison ou une autre vous en ressentez le besoin ne bloquez pas cette émotion par peur du regard de l’autre, Accueillez-la et vivez-la.


Et si en face de vous, la personne ne comprend pas ce mode de fonctionnement cela peut simplement vouloir dire que cette personne a intégré la croyance qu’on ne doit pas montrer ses émotions. Elle se protège juste car en vous voyant pleurer cela l’a renvoie à sa propre souffrance qu’elle n’accueille pas.


Faites confiance à votre corps car c’est lui qui a les réponses.


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